Macédoine est une femme. Rien que ça dans les Balkans c’est assez rare pour être souligner. Une femme avec des belles courbes, certes bien éloignée des courbes de rêves d’autres pays mais elle est fière de sa silhouette. Une poitrine raisonnable, un jolie ‘C’, ni de trop, ni trop peu. Un ventre plat, des hanches définies mais pas trop et des jambes fines. Une vraie figure de model si on ne regardait pas sa hauteur, car la demoiselle à la silhouette si fine, n’atteint même pas 1m55. Elle mesure 1m52 ce qui entre tous les Balkans est assez étonnant. Mais prenons pour acquis que c’est une demoiselle et que de base, les dames sont plus petites que les hommes. Quand bien même, sa taille ne l’empêche pas d’être jolie et c’est ce qui fait aussi partie de son charme. Tout ce qui est petit est mignon, tout ce qui est grand... eh bien comme le dit l’adage, je suis sûre que vous le connaissez aussi. Mais ce petit corps est malgré tout très souple et mobile, la danse ayant une très grande place dans sa culture, on peut dire qu’elle s’y adonne très volontiers. Remontons un pu maintenant a son visage. Il est clair que comme toute jeune femme, elle préfère qu’on la regarde dans les yeux. Et quels yeux … Ses grands yeux sont d’un bleu lagon profond comme les lacs qui peuplent son pays et couronné de longs cils noirs. Ses yeux sont bien les fenêtres de son âme et elle qui ressent tant ne peut le caché. Son visage est fin et assez jolie a regarder. Un nez bien droit et de petites lèvres toujours enclin à sourire. Elle était déjà très expressive avant sa mutation, mais depuis qu’elle l’a, elle est incapable de cacher ses émotions. C’est autant un atout qu’une faiblesse, mais disons que Niko ne perd presque jamais le sourire alors bon.  Ce qui caractérise aussi la macédonienne, c’est aussi son énorme chevelure. De longs cheveux bruns allant jusqu’à la limite de ses fesses couronnant son visage. Ses cheveux son légèrement ondulé au niveau de ses pointes mais restes lisse sur le haut des cheveux. Cette masse facile a coiffée elle la maintient souvent attachée, en queue de cheval ou en couettes mais souvent elle les laisse juste lâché. Quand a ses habits, on remarquera que le rouge et le noir sont des couleurs qu’elle affectionne particulièrement. Le jaune et les tons beiges aussi ont une place de choix dans son cœur. Tenues toujours féminine, elle ne porte jamais de pantalons, robes et jupes sont un must pour la demoiselle. Même malgré tout ce qui a pu se passer, elle en reste très à cheval sur ses convictions vestimentaire et garde une affection particulière pour les jupes.
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Macédoine est une jeune femme assez unique en son genre, voyant le bon côté des choses. Optimiste convaincue, elle ne se laisse pas abattre par la négativité et garde toujours le sourire malgré le malheur qui peut l’entourer. Rien ne vaut un peu de chaleur humaine et de gentillesse quand le monde entier tourne le dos à ce qu’il était. Enjouée et pleine de vie, c’est les bonnes intentions qui la font exister en ce monde. C’est une jeune femme gentille jusqu’au plus profond de son cœur, il n’y a presque pas une once de méchanceté en elle.  La jeune femme est aussi très attentionnée envers ceux qu'elle aime, d'une douceur incroyable et possédant un sourire contagieux qui ferait sourire les personnes les plus attristées qui auraient l'occasion de la croiser. C’est aussi une nation qui fera passer ses amis avant elle, bien trop souvent d'ailleurs et peu importe ce que cela lui coûtera. Elle en fait trop pour ses amis, pour ceux qu’elle aime, et ça malgré tous les reproches qu'on lui a déjà fait vis à vis de cette partie de son attitude, mais que voulez-vous, chasser le naturel et il revient au galop ! Nikolina à même tendance à s’oublier tellement elle prend plus soin des autres que d’elle-même. Et avec sa mutation ça ne va pas en s’arrangeant. Elle veut aider et finit par en oublier les points négatifs de sa mutation ce qui lui souvent avoir de mauvaise surprise. Toujours très attachée a sa culture et a la musique, il n’est pas rare de l’entendre chantonner, voir même de la surprendre à danser. On pourrait aussi aborder le sujet de la danse la concernant, mais là, ça serait vraiment une longue histoire... La danse est un art, et la danse traditionnelle fait partie de sa vie comme elle fait partie de son pays et qu'elle a fait partie de son histoire. La danse pour Macédoine c'est une histoire de fierté nationale et d'amour de ce sport élevé au rang d’art. Et soyons honnête, elle le maîtrise presque à la perfection cet art tant aimer.

Et un dernier point à noter, peut-être pas le plus important, mais certainement le moins attendu d'une jeune fille comme elle : Niko est assez rancunière. Pas assez pour en faire voir de toutes les couleurs à la personne ou les personnes qui auront osé s'attirer ses foudres, mais une chose est sure : elle a une bonne mémoire et n'oubliera personne le moment venu. Sa gentillesse et son calme naturels l'aideront toujours à en faire moins qu'elle souhaiterait faire, mais il ne faudrait pas trop abuser de l'amitié de la belle brune, sous peine de se piquer à ses ronces assez piquantes !

Comme le dit l’adage : Les plus belles roses sont souvent couvertes d’épines mais il est rare de s’y piquer volontairement.

Une histoire est simple à raconter quand il n’y a pas d’horribles monstres qui veulent vous manger. Toute fois, la mienne n’est pas si horrible que ça.

Juin 2015

Le gouvernement avait tenté de s’y prendre assez tôt concernant les mutations et le virus mais c’était peine perdue. A force de trop vouloir protéger les citoyens on commençait à les perdre, un par un … puis cent par cent et enfin mile par mile. Nous avions donc fini par essayer de vivre avec les soucis. Ohrid semblait être à l’abri du SDG pendant un moment, comme mon ministre plaisantait souvent… « Qui viendrait se perdre en Macédoine ? ». Mais plus le temps passait, plus le SDG avançait et les mutants avec. Dans le courant du mois de juillet, on perdait Skopje aux hommes devenu monstres et mon gouvernement avait décidé de fuir vers la Slovénie… On était pas le bienvenu en Grèce, ce qui malgré la fin du monde maintenait clairement la tension. Alors ils sont partit, mais je suis restée… Il fallait que je sache si certains allaient bien. Alors prenant un grand sac et mon courage à deux mains, je suis partie...

31 Août 2015

Je quittais Ohrid et mon lac le cœur lourd. C’était dur de partir loin de chez soi. Ce chez-moi que j’avais entretenu avec amour. Ce chez-moi qui contenait une grande partie de ma vie entre ses murs. Je quittais chez moi, non sans quelques larmes coulant le long de mes joues. Nous avions tout fais pour les repousser mais la malheureuse vérité nous plaquait au sol, nous n’étions plus assez et la pauvreté nous avait affaiblit en bien des points… En particulier en armement. On se réfugiais dans le montagnes en espérant qu'on aurait le temps de se préparer pour rejoindre la Slovénie.

15 Septembre 2015

Avec un petit groupe de gens nous avions décidé de traverser les montagnes vers Tirana, en voiture, ayant fait le plein de bidons d’essence nous étions sur d’arrivé au moins sain et sauf jusqu'à Ljubljana. Podgorica, Sarajevo et Zagreb semblaient avoir revêtues leurs habits de la guerre, ce qui je dois bien l’avouer me brisait le cœur. On avait fait la route d’une traite, changeant de conducteur toutes les deux heures. Nous avons mit un nuit pour arrivé là bas.

Décembre 2015

Je retrouvais mon gouvernement, mais je restais inquiète, ça faisait deux mois que j’étais là. Pourquoi est-ce que j’étais la seule nation ici ? Ou étaient les autres ? Monténégro ? Albanie ? Croatie ? Slovénie ? Bosnie ? Ou était Serbie ? Et Kosovo ? Ou étaient-ils ? Je me doutais qu’ils étaient à Milan, dans la base des nations. Chose que je n’avais as appris de la bouche de ceux qui me gouvernaient, mais en écoutant à une porte alors qu’on parlait de moi. Je savais qu’ils ne serraient probablement pas là, mais… au fond j’espérais au moins trouver quelqu’un ici

« Si tu cherches les Nations … ils sont à Milan dans une base spéciale dédiée aux nations. » m’expliqua un député.

Ce dernier m’expliqua aussi que le président et le premier ministre avaient refusé de m’en informer, de peur que je cherche à les rejoindre, tout ça dans le but de me protéger. Mais évidemment que j’allais chercher à les rejoindre ! C’était mes amis, ceux que j’avais de plus cher en ce monde, ceux que j’aimais le plus. Et il n’était pas question que je les laisse, j’avais une promesse à tenir. Le soir même j’allais confronté mon gouvernement. Sans crier, simplement leur dire que je partais rejoindre les miens. On essaya de m’en empêcher et usant de ma mutation pour rassurer, je pu faire mon sac et partir.

Janvier 2016

C’est là ou mon enfer commença. J’ai été naïve de partir seule… mais j’y suis arrivé … non sans être blessée, non sans être épuisée mais je suis enfin là….

S’il vous plaît ouvrez moi..